Réalisation

Production

Scénarisation

studios

  • Les Films du Fleuve
  • Sixteen Films
  • Why Not Productions
  • Wild Bunch

distributeur

  • Métropole Films Distribution

Bandes-annonces & Images

Revues de presse

Médiafilm

Bon
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Faufilée dans les mailles de son intrigue simple, le film dresse un constat accablant de la mort des institutions, ou du moins, des idéaux égalitaires et fraternels qui leur ont donné naissance.

Martin Bilodeau Lire la critique complète

Panorama-Cinéma

Très bon
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I, Daniel Blake est un grand film, un film puissant et opportun, qui révèle de façon circonstancielle les failles de son scénario, révélant ainsi au grand jour les pratiques manipulatrices des auteurs. 

Olivier Thibodeau Lire la critique complète

Séquences

Extraordinaire
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La fin, qu'on ne révélera pas, est un cri du coeur, une voix dissidente, une rébellion de l'âme et de la conscience, une parole pour le retour des responsabilités sociales et politiques saines, humanitaires ; un éclat de voix percutant que nous ne pouvons pas simplement nous permettre d'ignorer.

Élie Castiel Lire la critique complète

Cinéfilic

Bon
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À force de trop vouloir souligner les inégalités du néolibéralisme, le film perd de sa force dénonciatrice. Comme l'épilogue qui se voudrait un énorme plaidoyer pour la dignité humaine, Loach manque ici malheureusement de nuance !

Pascal Grenier Lire la critique complète

La Presse

Excellent
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On ressort de ce film avec un seul souhait: que de telles mesures ne soient jamais adoptées ici.

André Duchesne Lire la critique complète

Cinémaniak.net

Très bon
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I, Daniel Blake est un film résolument politique, mâtiné d'un humanisme cher au cinéaste de 80 ans qui n'a rien perdu de son mordant, se voyant (légitimement?) décerner au passage une deuxième palme d'or cannoise après Le vent se lève.

Alexandre Blasquez Lire la critique complète

Cinémaniak.net

Excellent
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Avec le désir de changer les choses, de faciliter l'accès au bonheur toujours contrarié par les politiques administratives hypocrites et volontairement inefficaces qui ne servent qu'à empoisonner la vie. C'est aussi à ça que sert le cinéma. Dans un sens, nous sommes tous Daniel Blake.

Jules Couturier Lire la critique complète