Merveilleux

Reprenant le regard empathique qu'il portait sur les adolescents de son précédent The Perks of Being a Wallflower, Stephen Chbosky prend le temps de camper la dynamique familiale afin de nous habituer au visage légèrement boursouflé du protagoniste, pour ensuite varier les points de vue sur la façon de percevoir l'état particulier de ce dernier.

Le coeur constamment serré, l'oeil légèrement mouillé, mais un sourire au coin des lèvres pendant et longuement après, Wonder inspire autant qu'il touche, et ce malgré son récit trop peu subtil, ses personnages peu nuancés et son optimiste trop appuyé.

Dramatizing one boy's effect on the people around him, it invites the viewer into that fold.

Un film bouleversant sur la différence et le regard des autres destiné à émouvoir et qui ne s'en cache pas. Honnêtement, on s'attendait à bien pire du côté de l'émotion mercenaire.

Jacob Tremblay and Julia Roberts star in a film that’s shamelessly sentimental but (almost) never mawkish or manipulative.

It is a machine for creating empathy.

Stephen Chbosky's drama of a middle-school kid with a facial deformity proves that a movie that sounds mawkish on paper can earn honest tears.

Before the credits roll on Wonder, your cheeks will be wet and your vision will be a touch blurred -- but you'll be smiling all the same.

La machine bien huilée de Hollywood fait son oeuvre. Tout est bien ficelé dans Wonder pour faire vivre aux spectateurs une panoplie d'émotions.

But I can't help but give Wonder major kudos for mostly avoiding the pitfalls one would expect it to fall in, instead delivering a tale that is genuinely heartfelt and touching.