Le petit Nicolas
Nicolas a une bande de chouettes amis et des parents qui l'aiment. Il vit une existence paisible et sans problèmes jusqu'à ce qu'il apprenne la venue prochaine d'un nouveau membre dans sa famille. Selon l'un de ses copains qui a vécu semblable situation récemment, un nouveau petit frère bouleversera toutes ses habitudes et ses parents seront peut-être même forcés de l'abandonner dans la forêt comme le Petit Poucet. Nicolas décide donc d'agir, et il organise une escouade avec ses compagnons dans l'espoir d'amasser assez d'argent pour engager un gangster capable de kidnapper le nouveau-né.
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- Les Films Séville
Revues de presse
Médiafilm
La plupart des gags font mouche, le récit est raconté comme il se doit à hauteur d'enfant et les dialogues possèdent la fraîcheur de ceux de Goscinny.
Lire la critique complèteLe Soleil
Avec sa mignonne petite bouille, le jeune Maxim Godart incarne un petit Nicolas suave, mais plus sage que dans la bande dessinée. De tous ses camarades, le petit Agnan, le chouchou de la maîtresse et souffre-douleur de ses camarades (mais que personne ne peut frapper parce qu'il porte des lunettes...), est de loin celui qui fait le plus rigoler.
Lire la critique complèteLa Presse
Malgré tout, la distribution (Kad Merad, Valérie Lemercier et Sandrine Kiberlain pour les adultes, Maxime Godart, Vincent Claude et Charles Vaillant pour les enfants) et les dialogues plutôt fins sauvent la mise.
Lire la critique complèteCanoë
Ce n'est pas vraiment comme cela qu'on se l'imaginait en chair et en os. N'empêche, Le petit Nicolas version cinoche ne décevra pas les maniaques du personnage littéraire créé, il y a des lustres, par René Goscinny et Jean- Jacques Sempé.
Lire la critique complèteVoir
À la fois ludique, nostalgique et universelle, cette adaptation d'un irrésistible charme suranné des livres de Sempé et Goscinny signée Laurent Tirard séduira petits et grands.
Lire la critique complèteLecinema.ca
Le récit ne tarde cependant pas à plafonner. Le scénario est particulièrement faible et très peu développé, à l'image de ces personnages unidimensionnels. Pendant que les jeunes âmes apprennent des leçons de vie qui ne surprendront en rien la jeunesse de 2010, leurs parents se cherchent au sein de quelques intrigues secondaires inutiles et plus ou moins réussies.
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