La dernière chanson

Ce florilège d'incidents est décoré d'images d'Épinal puisées dans l'environnement ensoleillé et maritime où se situe l'action.

Soucieuse de donner un nouveau souffle à sa carrière post-Hannah Montana, Miley Cyrus a trouvé le rôle parfait pour ne pas trop froisser son image préfabriquée de gentille fille. Le seul ennui, c'est qu'elle le fait avec bien peu de conviction, à travers un scénario dont les répliques sonnent plus souvent qu'autrement comme des messages de cartes de voeux Hallmark.

The Last Song is a predictable but not unpleasant bid to reassure young fans - and their moms - that the rapidly maturing Cyrus still holds family values.

Perhaps attempting to overcompensate for its ridiculous first half, the movie goes overboard launching assault after assault of worn-out emotional clichés at gale force speed. The outpouring is so heavy that at one point Ronnie seems to go through all five stages of grief in a single scene.

Construit en deux temps à travers une mise en scène rudimentaire de Julie Ann Robinson, la production va de la romance sucrée au mélo insistant sans surprendre outre mesure. Si Miley Cyrus fait une rebelle bien peu convaincante, elle se met soudainement à rire comme une enfant pour des riens! Une évolution psychologique qui manque de subtilité.

Sparks has made a lucrative career out of this sort of thing, and the movies based on his novels have been ingenious in their choice of stars of the moment.

Se présentant d'abord sous l'aspect d'une bluette réalisée sans imagination (on se croirait devant un téléfilm) relatant des amours de vacances, le tout bascule au dernier acte dans le mélo pas trop larmoyant, mais pétri de bons sentiments. On a vu pire...

The Last Song n'a aucune autre prétention que celle de rejoindre les ados, sans pour autant assommer leurs parents. Et cette sincère simplicité est son principal atout.