Bandes-annonces & Images

Revues de presse

Médiafilm

Bon
Lire la critique

En revanche, le réalisateur, s'inspirant de l'actualité récente, a ajouté à son pamphlet un développement provocant, à portée métaphorique, qui déstabilisera à coup sûr le spectateur. L'interprétation est dans le ton pseudo-documentaire de l'oeuvre.

Louis-Paul Rioux Lire la critique complète

La Presse

Excellent
Lire la critique

La manière qu'emprunte l'auteur cinéaste pour évoquer cet aspect des choses constitue un tour de force. Subrepticement, des indices sont parsemés. Puis, la problématique est abordée frontalement en empruntant le point de vue du protagoniste. D'où l'aspect très dérangeant de la chose, que certains spectateurs rejetteront viscéralement.

Marc-André Lussier Lire la critique complète

24imag

Lire la critique

On attendait Robert Morin sur son terrain, totalement lucide, l'oeil vif, le verbe alerte, on attendait le Robert Morin qui aime et qui hait à la fois ses personnages... On a eu un pétard mouillé, une chronique critique en devenir, à peine esquissée et déjà émoussée. Car le grand problème de ce Journal d'un coopérant est d'avoir peut-être voulu embrasser trop large en s'attaquant à un pan entier de la mauvaise conscience occidentale.

Philippe Gajan Lire la critique complète

The Gazette

Pauvre
Lire la critique

Journal d'un coopérant is not a film many people are likely to see, and that's too bad. It's not that you'll miss a great film - it is not a masterpiece - but rather, that you'll be taking a pass on one of the more thought-provoking Quebec films to come along in some time.

Brendan Kelly Lire la critique complète

Lecinema.ca

Bon
Lire la critique

Robert Morin continue à faire ce qu'il sait le mieux dans Journal d'un coopérant, un essai dérangeant et caustique sur les maux qui affligent l'Afrique... et l'être humain. Peut-être pas aussi essentiel que ses dernières missives, mais néanmoins toujours dans une classe à part.

Martin Gignac Lire la critique complète

Voir

Très bon
Lire la critique

De cette façon, Morin installe une complicité instantanée entre son personnage et le spectateur... ce qui rendra la suite d'autant plus bouleversante alors que le récit bascule doucement et irrémédiablement vers l'impensable. De fait, impuissant face aux limites de la coopération, à la corruption politique et à la violence, Phaneuf fuit dans un monde virtuel et se livre à des gestes condamnables. Rarement l'emploi de la métaphore aura été aussi percutant et lourd de sens.

Manon Dumais Lire la critique complète