Insidieux

Le réalisateur et le scénariste de SAW s'associent aux producteurs de PARANORMAL ACTIVITY pour trousser un drame d'horreur de bonne tenue, mélange de film de maison hantée aux effets-chocs tonitruants, et de récit à la POLTERGEIST mis en image à la manière de David Lynch.

Repetitive images lacking any fear factor add to the tedium. Insidious is more likely to induce yawns than screams.

The filmmakers blend noisy scares with subtle spookiness to chillingly good effect.

The suddenly frenetic action is matched by a riot of visual references to Japanese horror, Wes Craven and David Lynch, but the strongest analogue for the second half of Insidious is one that the filmmakers probably weren't trying for: it feels like a less poetic version of an M. Night Shyamalan fairy tale.

It also helps that Insidious boasts a more than credible cast, headlined by two actors you wouldn't normally find in horror flicks.

Dans le genre «film de peur sans gore», Insidieux fait sursauter à foison et satisfait amplement les amateurs de frissons paranormaux.

Insidious ne prend pas de détour ni de chemin de fuite: on va de l'avant, en route confortable et piétinée. C'est un film d'épouvante classique, à l'ancienne, un plaisir démodé.

Il y a encore des maladresses dans l'exploitation et un punch final un peu inutile. Sauf que la démonstration fait peur tout en divertissant, deux données qui ne sont pas négligeables.

Si le duo (James Wan et Leigh Whannell) n'avait pas mis la marche aussi haute, peut-être aurait-on davantage apprécié Insidieux, lequel s'inspire de la traditionnelle histoire de maison hantée pour, en cours de route, sombrer dans la caricature.

Insidious won't make you scream, but it may make your hair stand on end.