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  • Forum Films

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  • Remstar

Bandes-annonces & Images

Revues de presse

Médiafilm

Très bon
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Portrait social dur et réaliste signé Benoît Pilon (CE QU'IL FAUT POUR VIVRE), DÉCHARGE possède une bonne intensité dramatique, malgré quelques éléments convenus dans le récit.

Louis-Paul Rioux Lire la critique complète

Journal de Montréal

Bon
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Inspiré du cinéma urbain et noir de cinéastes comme James Gray et Andrea Arnold, Benoît Pilon a opté pour une mise en scène simple, crue et dépouillée. La caméra bouge et se colle aux personnages, cherchant l’émotion pure. Le tout est magnifiquement interprété, notamment par un David Boutin et une Sophie Desmarais bouleversants.

Maxime Demers Lire la critique complète

Panorama-Cinéma

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Autant la cruauté et la laideur de ces lieux se devaient d'être soulignées à gros traits, autant elles finissent par traduire un manque de finesse, et donc de nuances, pour le moins désolant dans le traitement de l'ensemble des éléments formant la présente entreprise.

Jean-François Vandeuren Lire la critique complète

Lecinema.ca

Bon
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Très attendu second long métrage de fiction de Benoit Pilon, Décharge ne possède pas la même puissance évocatrice que son précédent Ce qu'il faut pour vivre. Reste qu'il demeure néanmoins une belle pièce de cinéma, notamment grâce à la solidité de ses comédiens qui comprennent David Boutin, Isabel Richer et l'excellente Sophie Desmarais.

Martin Gignac Lire la critique complète

Voir

Très bon
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Âpre, dense, dur. Voilà en quelques mots comment on pourrait résumer ce quatrième long métrage de Benoit Pilon. Or, il serait bien injuste de le réduire à si peu, car si les lueurs d’espoir semblent bien pâles dans cette sombre peinture de milieu, on y trouve de prenants instants de poésie urbaine.

Manon Dumais Lire la critique complète

Films du Québec

Bon
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Décharge possède d'excellentes idées de départ et abonde de métaphores intéressantes. Le résultat final est toutefois plutôt inégal, les prémisses du scénario ne se concrétisant qu'à moitié, en partie à cause d'un scénario aux nombreux raccourcis et manquant parfois de profondeur.

Charles-Henri Ramond Lire la critique complète