Ça va faire boom
v.o.a. : Here Comes the Boom
Cela fait des années que Scott n'est plus passionné par l'enseignement de la biologie. Après une réprimande de ses supérieurs, le célibataire fraternise avec le professeur de musique qui sera bientôt papa. Il n'hésite pas à lui venir en aide lorsque la direction annonce qu'elle abolira prochainement le département de musique. Pour sauver cette matière scolaire qui inspire les étudiants, Scott doit trouver près de 50 000 $. Le seul moyen d'y parvenir est de prendre part à des combats d'arts martiaux mixtes. Avec un bon entraîneur, rien n'est impossible. Mais gare aux blessures qui pourraient handicaper son avenir...
Distribution
Réalisation
Production
Scénarisation
studios
- Broken Road Productions
- Columbia Pictures Corporation
- Sony Pictures
distributeur
- Sony Pictures
Revues de presse
Médiafilm
Cette production générique recourt à une formule connue et au recyclage d'idées, en plus de privilégier un mélange pour le moins curieux et peu convaincant de bons sentiments.
Lire la critique complèteCinema Blend
Someday, James is going to make a truly awesome film, and when that happens, we'll look back and realize it has more similarities than differences to this.
Lire la critique complèteJoblo.com
So - while Here Comes the Boom didn't really work for me as a comedy, there's enough of a feel-good underdog story at it's core to give the film a lot of heart.
Lire la critique complèteCanoë
Ça va faire boom ne sera pas la tasse de thé de tous les cinéphiles, mais le film est taillé sur mesure pour les adeptes de comédies et les admirateurs de Kevin James.
Lire la critique complèteLa Presse
Frank Coraci, qui n'a jamais été reconnu pour ses qualités de réalisateur, propose un long métrage sans grande finesse. Ses acteurs ne sont pas trop mal dirigés, ses images pas trop laides, bref, tout ça donne un film assez ordinaire vite consommé et vite oublié.
Lire la critique complèteVoir
Empruntant aux clichés des comédies de campus et drames sportifs, le tout se déroule au gré d'un rythme assez alerte pour clore sur une finale aussi prévisible qu'improbable.
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