Bandes-annonces & Images

Revues de presse

Médiafilm

Pauvre
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Cette romance à la prémisse fantaisiste plutôt charmante essaie trop de se démarquer des productions du genre par des développements extravagants qui s'avèrent rarement drôles et souvent forcés

Médiafilm Lire la critique complète

La Presse

Acceptable
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L'idée intéressante est là, mais exploitée de façon trop primaire. Chacun des prétendants représenterait en effet une des facettes de ce que les femmes recherchent chez un partenaire idéal: mystère (le magicien incarné par Jon Heder), beauté (le mannequin incarné par Dax Shepard), adoration (l'artiste peintre incarné par Will Arnett), argent (le magnat de la saucisse incarné par Danny DeVito). Cela débouche sur des personnages volontairement unidimensionnels. Et un mystère qui n'en est pas vraiment eux: jamais Beth ne cèdera à l'une de ces caricatures.

Sonia Sarfati Lire la critique complète

The Gazette

Pauvre
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Ultimately, though, the humour that should have naturally occurred from having DeVito, Arnett and Heder in the same scene never materializes, and viewers are instead left with a wince-inducing ending that mimics the part in The Wizard of Oz, when Dorothy bids farewell to the Tin Man, Scarecrow and Lion.

Vanessa Farquharson Lire la critique complète

Cinema Blend

Bon
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Much as I want to embrace Bell as the next big thing, here she comes off as kind of a dead end. Like the movie she tries hard, this isn't a lack of effort on her part, but it's as if some vital component is missing. It's as if when you look into her eyes she's thinking about where she's supposed to stand in the next scene.

Josh Tyler Lire la critique complète

Lecinema.ca

Minable
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Romance à l'eau de rose se noyant dans ses conventions les plus élémentaires, When in Rome oublie les trois fondements du genre romantique: un couple à la chimie palpable, des situations mignonnes et de l'humour intelligent.

Martin Gignac Lire la critique complète