Voici les nouveautés de la semaine :
OSS 117 : Rio ne répond plus - France - 101 min.
Réalisé par Michel Hazanavicius. Avec Jean Dujardin, Louise Monot.
À son retour de vacances en Chine, où il a troué la peau de quelques vilains « jaunes », Hubert Bonnisseur de la Bath, alias OSS 117, prend le chemin de Rio. Sa mission: remettre une forte somme à un vieux criminel de guerre nazi, en échange de deux microfilms incriminants pour la France. Nous sommes en 1967 mais l'agent des services secrets français, ignorant, chauvin et veinard comme personne, comprend à peine les enjeux du dossier. Son esprit s'embrume encore davantage lorsque des membres du Mossad, qui traquent le même nazi, lui proposent de faire équipe avec Dolorès, une haut-gradée en minijupe. Celle-ci, enchantée de fréquenter OSS 117, considéré comme une légende des services secrets, a tôt fait de déchanter.
The Ugly Truth (La vérité crue) - États-Unis - 101 min.
Réalisé par Robert Luketic. Avec Katherine Heigl, Gerard Butler.
Les cotes d'écoute de l'émission de télévision matinale dont Abby est la productrice sont sur le déclin. Pour stopper l'hémorragie, son patron lui impose un nouveau chroniqueur, Mike, un macho d'une redoutable franchise, qui dynamite les relations homme-femme à coups de déclarations-chocs. La jeune femme contrôlante et coincée semble bien décidée à mettre à sa place cet ours mal léché qu'elle accuse d'être un imposteur. Pour lui prouver son expertise, Mike la défie de suivre ses conseils sur la façon dont elle devrait s'y prendre pour séduire son voisin médecin. Presque simultanément, l'indice d'écoute de son émission bondit et Abby parvient à ses fins avec son voisin. Or, lorsque Mike menace de partir travailler pour un réseau concurrent, Abby prend conscience de son attachement pour lui.
G-Force (Opération G-Force) - États-Unis - 88 min.
Réalisé par Hoyt Yeatman. Avec les voix de Nicolas Cage, Sam Rockwell.
Des cochons d'Inde qui s'entraînent aux arts martiaux et au combat au sein d'un programme des services secrets américains sont appelés à neutraliser un milliardaire despotique qui cherche à contrôler la planète.
(500) Days of Summer - États-Unis - 95 min.
À Montréal et en anglais seulement.
Réalisé par Marc Webb. Avec Joseph Gordon-Levitt, Zooey Deschanel.
Tom, architecte de formation devenu par dépit rédacteur de maximes chez un éditeur de cartes de souhaits, admire de loin Summer, la nouvelle assistante de son patron. Quelques rencontres dans l'ascenseur, partys de bureau et allusions guère subtiles de son meilleur ami plus tard, les deux jeunes los-angelais se fréquentent. Pas sérieusement, ordonne Summer, qui ne veut pas s'attacher. Mais Tom, très épris, gère avec plus de difficulté cette liaison désinvolture. Ce qui occasionne quelques frictions entre eux et provoque éventuellement leur rupture. Du premier regard aux derniers mots échangés, Tom finira par prendre conscience que son amour, aussi sincère soit-il, était fondé sur le malentendu.
Humpday - États-Unis - 94 min.
À Montréal et en anglais seulement.
Réalisé par Lynn Shelton. Avec Mark Duplass, Joshua Leonard.
Au beau milieu de la nuit, Andrew débarque à Seattle chez Ben, son ami de collège qu'il n'a pas vu depuis des années. Alors qu'Andrew revient d'un long périple à travers le monde, Ben assume très bien sa vie rangée auprès de son épouse Anna, avec qui il projette de fonder une famille. Dès son arrivée, Andrew sympathise avec une bande d'artistes bohèmes et invite son ami à venir les rejoindre. Au cours de cette soirée trop bien arrosée, les deux hétérosexuels se lancent le défi de tourner ensemble un film pornographique gay qu'ils comptent inscrire dans un festival de films amateurs. Le lendemain, malgré leur embarras évident et les vives protestations d'Anna, les deux hommes décident de tenir leur promesse.
Orphan (L'orpheline) - États-Unis - 123 min.
Réalisé par Jaume Collet-Serra. Avec Vera Farmiga, Peter Sarsgaard.
Accablés par la perte de leur enfant mort-né, Kate et son mari John forment le projet d'adopter une petite fille. Ils portent leur choix sur Esther, une orpheline de neuf ans qui, aussitôt installée chez eux, montre à sa mère adoptive, psychologiquement fragile, un visage terrifiant que les autres ne voient pas.
Ce que mes yeux ont vu - France - 82 min.
À Montréal seulement.
Réalisé par Laurent de Bartillat. Avec Sylvie Testud, James Thiérrée.
Quelle était l'identité de cette femme, toujours montrée de dos, dans plusieurs des toiles du peintre Antoine Watteau (1684-1721)? La question hante Lucie, étudiante en histoire de l'art. Faisant fi des réticences de son directeur de thèse et de propres ennuis financiers, la jeune femme se lance dans une longue enquête, aidée par Vincent, un sourd-muet qui fait la manche devant le centre de photocopies où elle travaille. Mais leur complicité étrange est brutalement éprouvée lorsqu'un accident plonge ce dernier dans le coma. Il venait de fournir à Lucie un indice important, contenu dans un tableau de Gilles-Marie Oppenord, un peintre peu connu. Or, cette toile est justement sur le point d'être mise aux enchères.
Ulzhan (Ulzhan)- France - 105 min.
Réalisé par Volker Schlöndorff. Avec Philippe Torreton, Ayanat Ksenbai.
Peu après avoir passé la frontière du Kazakhstan, la voiture de Charles tombe en panne. Le Français peu bavard l'abandonne sans regret et poursuit sa route. Se réveillant d'une nuit de beuverie dans un tripot minable, il constate qu'on l'a détroussé de ses papiers et de son argent. N'était-ce pas le but recherché? Sur son mystérieux itinéraire, il fait la rencontre de Shakuni, un "vendeur de mots", puis se rend avec lui chez Ulzhan, une enseignante qui consent à lui vendre un cheval. Déterminé à rejoindre seul les steppes kazakhs, ce dernier s'aperçoit qu'il devra semer ses deux nouveaux compagnons.
The Stoning of Soroya M. - États-Unis - 116 min.
À Montréal et en anglais seulement.
Réalisé par Cyrus Nowrasteh. Avec Shohreh Aghdashloo, James Caviezel.
Iran, 1986. S'étant arrêté dans un village afin d'y faire réparer sa voiture, Freidoune, un journaliste franco-iranien, est interpellé par Zahara, une femme d'âge mûre qui insiste pour le rencontrer. Intrigué, le voyageur se rend chez elle et, non sans hésitation, accepte de l'enregistrer. La veille, lui dit-elle, la population en furie a lapidé sa nièce Soraya, accusée d'adultère par son mari. En vérité, ce dernier a inventé l'affaire pour pouvoir épouser une autre femme. Décidée à faire éclater la vérité, Zahara relate les circonstances qui ont conduit la jeune mère vers cette fin atroce, dénonçant du même souffle les mensonges du mari infidèle, la complicité de l'autorité religieuse locale et la bénédiction tacite du maire de l'endroit. Lesquels, craignant évidemment que l'affaire ne s'ébruite, n'hésiteront pas à intimider le journaliste bouleversé par ce qu'il vient d'entendre.
Youssou N'Dour : I Bring What I Love - Sénégal - 102 min.
À Montréal et en anglais seulement.
Réalisé par Elizabeth Chai Vasarhelyi.
Depuis plus de 20 ans, le chanteur sénégalais Youssou N'Dour multiplie les succès, en Afrique et partout à travers le monde. Mais la parution de son album "Egypt", un projet qui rassemble des musiciens et un orchestre cairotes et fait l'éloge des traditions musicales islamiques, a provoqué une immense controverse et suscité la colère de ses compatriotes.
Everlasting Moments - Danemark - 131 min.
À Montréal et en anglais seulement.
Réalisé par Jan Troell. Avec Maria Heiskanen, Mikael Persbrandt.
Dans une ville portuaire de Suède au début du XXe siècle, Maria, mère d'une famille nombreuse, vit des instants difficiles aux côtés de Sigfrid, son mari alcoolique, infidèle et parfois violent. Mais parce qu'il est aussi travailleur et capable d'élans de tendresse, elle lui demeure dévouée. Sous le regard attentif de Maja, l'aînée des filles, les époux traversent des années marquées par la pauvreté, la guerre et les trahisons. Après avoir exhumé d'une malle un vieil appareil-photo gagné lors d'une loterie à l'époque de ses fiançailles, Maria se découvre un goût pour la photographie. Curieuse et passionnée, la femme nouvellement épanouie amorce une relation privilégiée mais platonique avec le propriétaire d'une boutique d'articles de photos.
Les résumés proviennent de Médiafilm.