Voici les nouveautés de la semaine.
The Final Destination (La destination ultime) - États-Unis - 81 min.
Réalisé par David R. Ellis. Avec Bobby Campo, Shantel VanSanten.
Grâce à une vision prémonitoire, un adolescent évite à ses amis de périr lors d'une course automobile qui se termine en catastrophe. Mais peu après, les jeunes meurent l'un après l'autre dans des circonstances horribles.
Halloween II (Halloween II) - État-Unis - 95 min.
Réalisé par Rob Zombie. Avec Scout Taylor-Compton, Tyler Mane.
À peine remise d'une violente attaque de son frère Michael Myers le soir de l'Halloween, Laurie Strode voit revenir le meurtrier psychopathe qui veut de nouveau s'en prendre à elle.
Taking Woodstock - États-Unis - 121 min.
À Montréal et en anglais seulement.
Réalisé par Ang Lee. Avec Demetri Martin, Imelda Staunton.
Été 1969. En tant que président de la chambre de commerce de Bethel, communauté rurale de l'État de New York, Elliot Teichberg y autorise la tenue du festival de musique de Woodstock, après qu'une bourgade voisine eut retiré leur permis aux organisateurs à la dernière minute. Elliot compte ainsi trouver de la clientèle à ses parents, des immigrants juifs russes dont le motel décrépit est menacé de saisie par la banque. Or, en plus de faire le plein de hippies enthousiastes, l'établissement devient le quartier général du festival. Gagné par l'ambiance de liberté qui règne sur le site, l'introverti Elliot se laisse enfin aller, glissant dans la boue avec les spectateurs le lendemain d'un orage, faisant un merveilleux voyage au LSD en compagnie d'un couple bisexuel puis s'affichant aux bras d'un séduisant ouvrier. Quant à son père, depuis toujours sous la férule de son épouse autoritaire et avare, il se sent lui aussi revivre au contact des joyeux hippies.
Espion(s) - France - 99 min.
Réalisé par Nicolas Saada. Avec Guillaume Canet, Géraldine Pailhas.
Pris à voler dans une valise diplomatique syrienne qui contenait un flacon de parfum ayant explosé à la figure de son collègue, le bagagiste Vincent subit un chantage de la part des services secrets français. Contre son gré, le jeune homme brillant mais dénué d'ambition est envoyé à Londres où, supervisé par l'officier Palmer et secondé par l'agente Anna, il doit recueillir des informations sur Peter Burton, patron d'une compagnie pharmaceutique soupçonné de fréquenter des terroristes syriens. Se faisant passer pour un médecin humanitaire auprès de Burton, Vincent échoue à obtenir quelque révélation valable. Il a alors pour mission de séduire l'épouse française de l'industriel, Claire, afin de gagner sa confiance. Or, cette femme fragile, meurtrie par la vie, tombe éperdument amoureuse de l'espion en herbe.
$9.99 (Les sens de la vie pour 9,99 $) - Israël, Australie - 78 min.
À Montréal seulement.
Réalisé par Tatia Rosenthal.
Par un matin banal où il essaie en vain de héler un taxi, Jim Peck, la cinquantaine, est abordé par un clochard qui menace de se tirer une balle dans la tête. Ce qu'il finit par faire. Cet événement déclenche une crise existentielle chez Jim, qui s'était montré indifférent. De leur côté, les deux fils de ce dernier sont également arrivés à un carrefour: Lenny ne raffole pas de son boulot de huissier mais vient de rencontrer une mannequin plutôt entreprenante, et Dave, qui vit toujours avec leur père, vient quant à lui de commander un ouvrage qui promet de révéler le sens de la vie pour la modique somme de 9.99$. Satisfait de son achat, le jeune homme a cependant bien du mal à en partager les enseignements avec son entourage. Dans le même immeuble, Ron tourne en rond après que sa fiancée Michelle l'eut plaqué et le petit Zack éprouve des difficultés à communiquer avec son père bien intentionné mais peu attentif. Enfin, monsieur Albert, un retraité esseulé, héberge depuis peu un bien drôle d'ange, nul autre que le clochard suicidaire.
Les résumés proviennent de Médiafilm.